En voyage à Paris (ou ailleurs) les touristes sont toujours en quête d’un objet souvenir à ramener à la maison ou d’un petit cadeau à offrir. L’idée ? Garder une agréable pensée de son périple. Mais au juste : quels sont les souvenirs les plus foireux qu’un touriste puisse rapporter chez lui après un voyage à Paris ? Ici, vous trouverez les pires à nos yeux, gros (gros) clichés et méga attrape-touristes inclus. Après ça, si vous voulez encore dépenser votre argent en achetant ces souvenirs ultra gênants : libre à vous, mais on vous aura prévenus !
Les pires souvenirs à rapporter chez soi après un voyage à Paris :
1) Le Top 1 des pires souvenirs à caler dans sa valise après un voyage à Paris : une mini Tour Eiffel qui clignote Made in China, stockée dans une bouche d’égout
C’est LE souvenir cliché par excellence à rapporter chez soi après un voyage à Paris : le souvenir Tour Eiffel, qui se décline sous toutes les formes. Le porte-clé Tour Eiffel qui clignote façon épileptique, la Tour Eiffel en ferraille de toutes les tailles et toutes les couleurs… Il y en a pour tous les goûts, chers touristes ! Le plus ? La douce sensation de savoir que cette Tour Eiffel Made in China au design exquis a une chance d’avoir été stockée dans une bouche d’égout. Oui, mais une bouche d’égout parisienne s’il-vous-plaît !
2) Un ticket de Métro à 10 balles pendant les J.O (collector, à encadrer)
Chers touristes, voyager à Paris pendant les Jeux Olympiques promet d’être un puuuuur bonheur, et on pèse nos mots ! Et qui dit escapade parisienne pendant les JO dit bien-sûr souvenir à ramener pour marquer le coup. Et si le meilleur souvenir à conserver était un ticket de métro, dont le prix à l’unité va doubler, passant de 2,10€ à 4€ ? Car oui, comme tout est possible, d’ici là, le prix du ticket sera peut-être passé à 10 euros ! De quoi en faire un joli cadre « collector » à accrocher dans l’entrée. Le plus ? Un souvenir vraiment local pour le coup !
3) Une rose séchée vendue par un vendeur à la sauvette lorsque vous étiez en train de chiller en terrasse de café (10 balles la rose, il faut bien la rentabiliser)
Vous êtes tranquillement installés en terrasse de café, parlant à votre moitié ou à votre date Tinder quand soudain… Un vendeur de roses surgit de nulle part, vous carrant ses roses à demi fanées sous le nez. Différents scénarios possibles alors :
- L’ignorer (on vous prévient, ce petit jeu peut durer longtemps, ils sont du genre tenaces.)
- Lui répondre une phrase extrêmement classe, que le vendeur de roses a surement dû entendre environ mille fois dans sa « carrière » : « Non merci, je l’ai déjà pécho ! »
- Payer 10 balles la rose terne et sans parfum sans broncher, puis la faire sécher et l’encadrer en rentrant de votre voyage à Paris. Après tout, il faut bien rentabiliser cet achat de QUA-LI-TÉ.
PS : on préfère vous le dire : les parisiennes préfèrent qu’on leur offre des bières plutôt que des roses. On place ça là.
4) Parmi les pires souvenirs à rapporter d’un voyage à Paris : une capote « I love Paris » (au secours…)
Parmi les petits souvenirs qui sont d’un goût douteux, comment ne pas citer le fameux condom « I love Paris » ? Cliché à souhait, il est dans la lignée du tee-shirt « I love Paris », summum de la beaufitude. Ps : au cas où vous n’auriez pas compris, le préservatif I love Paris ne vous aidera pas à conclure. Jamais. Vraiment. On insiste.
5) L’addition au resto, avec le café à 8 euros 50 (à encadrer aussi)
Ce n’est pas une légende : à Paris, l’addition peut vite être salée au restaurant. Pire dans les restaurants dits « attrape-touristes » où on paye un rein un entrée-plat-dessert où tout est surgelé. Mais pour ramener un petit souvenir de votre voyage à Paris, l’addition ultra salée (longue comme un parchemin) peut vite faire sensation auprès de vos amis. Et particulièrement le prix de l’Expresso : l’apothéose !
6) Un béret Made in China (+ la marinière, et le magnet en forme de baguette de pain pour le frigo : perfect combo)
Non, le parisien ne porte pas un béret rouge, des bretelles, ni une marinière. Non il n’a pas un verre de vin rouge greffé à la main ni une perfusion de cubi. Et non, il ne passe pas toute sa sainte journée avec une baguette tradition sous le bras. Alors par pitié, les cadeaux souvenirs bérets rouges et marinières achetées dans les boutiques souvenirs, fabrication Made in China, on oublie. Un peu d’originalité que diable !
7) Une boite de macarons industriels aux couleurs (enfin, colorants) ultra flashy. Encore pire si la Tour Eiffel est dessinée sur la boite !
Ahles macarons parisiens… Les touristes en font tout un plat ! Mais bon… il parait qu’ils sont bons. Enfin… pas tous… BREF ! Quitte à ramener un souvenir de Paris, autant ramener des macarons faits maison, non surgelés ni fabriqués à la chaîne. Mais alors, si les macarons industriels sont présentés dans une boite à l’effigie de la Tour Eiffel, là ça sera vraiment le pompon sur la Garonne !
8) Une mini boite à musique « La vie en rose » d’Edith Piaf payée 20 balles, qui va se casser après avoir tourné la manivelle une fois et demi
Une boite à musique c’est charmant, mais une boite à musique ultra « cliché » rapportée de voyage, mieux vaut oublier ! Dans la lignée des attrape-touristes, comment ne pas citer la boite à musique en plastique ornée d’un subtil « I love Paris » ou mieux : d’une photo du Sacré-Coeur ? Le must : le prix si abordable (aux alentours de 20 balles) et la manivelle en plastoc qui se cassera avant le premier refrain de la Môme.
9) Une punaise de lit bien cachée dans la valise (c’est cadeau !)
Ah les punaises de lit… Un fléau dont nous avons entendu parler pendant un bon moment ! S’il sera difficile de rapporter un rat parisien dans votre valise, la punaise de lit, elle, risque peut-être de s’incruster dans vos affaires, avec un peu de chance ! Un souvenir vraiment impérissable (rire machiavélique).
10) Un selfie devant une boulangerie parisienne, à la « Emily in Paris » (pitié, tout mais pas ça !)
Non, ça c’est IN-TER-DIT ! Les photos touristiques passent encore, mais les photos devant une boulangerie, croissant en main, on oublie. (Si en plus vous portez la marinière ET le béret rouge, là, c’est le pompon, on ne peut plus rien pour vous. Red flag !