Et si vous décidiez de rythmer vos balades parisiennes au gré de mélodies iconiques ? C’est l’expérience empreinte de poésie que vous invite à vivre le duo d’artistes The Atomik Nation avec ses « street music box », de splendides boites à musique urbaines, disséminées dans les rues de Paris… Tout simplement magique !
« Street music box » de petites boites à musique installées sur les murs de Paris !
« Où la musique et la peinture se télescopent et s’influencent mutuellement » tel est l’adage de The Atomik Nation. Car oui, The Atomik Nation est bien plus qu’un binôme de musiciens. Véritables esthètes, Jérôme et Karim, respectivement batteur et bassiste mais aussi compositeurs, arrangeurs et producteurs aspirent à faire se rencontrer arts visuels et arts sonores. Et le résultat est époustouflant. Si depuis des années, en studio comme à la scène, le duo The Atomik Nation mêle ainsi la musique aux arts visuels, la rue se veut le théâtre de leurs « street music box » de petites oeuvres d’art on ne peut plus précieuses…
Au gré des rues de Paris, les mélodies d’Edith Piaf ou de Serge Gainsbourg…
Au coeur du musée à ciel ouvert qu’est la ville lumière, l’on s’émerveille ainsi devant de charmantes petites boites à musique couleur magenta, en résonance à La Vie en Rose d’Edith Piaf. Au détour de bon nombre de rues du 20ème arrondissement de Paris, activant le petit mécanisme qui nous ramène indéniablement en enfance, les notes de la célèbre mélodie de la Môme viennent ainsi chatouiller nos tympans. Dédiées à la Môme Piaf, les « street music box » couleur rose bonbon de The Atomik Nation se retrouvent symboliquement à l’entrée du Père Lachaise où l’artiste iconique repose mais aussi rue de la Chine, aux abords de l’Hôpital Tenon où Edith Piaf vit le jour. Mais ce n’est pas l’unique interprète à inspirer le duo d’artistes. L’an dernier, c’est à l’occasion des 30 ans de la disparition de Serge Gainsbourg que The Atomik Nation a rendu un hommage à l’homme à la tête de chou.
Quand arts visuels et arts sonores se rencontrent avec The Atomik Nation
De l’Hôpital Hôtel-Dieu sur le parvis de Notre Dame où le dandy naquit il y a 93 ans aux murs de son Hôtel particulier du 5 bis rue de Verneuil où il vécut ses derniers jours… L’on s’extasie devant ces petites oeuvres d’art délivrant à nos oreilles les airs iconiques de « Je t’aime… Moi non plus » ou « Le poinçonneur des Lilas ». Imaginées puis crées en collaboration avec de nombreux artistes urbains, ces petits bijoux mélodieux se parent ainsi des esquisses de street artistes de talent, de paquets de Gitanes détournés à de subtils jeux de mots, en passant par l’ébauche d’une silhouette de Gainsbarre à sa signature, ou de quelques fragments de partition…
« J’ai deux amours » l’hommage de The Atomik Nation à Joséphine Baker
En novembre dernier, alors que Joséphine Baker entrait au Panthéon, The Atomik Nation lui rendait aussi hommage… en musique ! Pour célébrer la vie de cette icone mondiale, le duo installait sur un mur, donnant sur le panthéon, une splendide boite à musique à son effigie. Sous les traits de la Statue de la Liberté, surplombant l’iconique monument du 5ème arrondissement de Paris : la figure forte de la Résistance et de la lutte antiraciste. En activant la petite manivelle « J’ai deux amours » s’offre ainsi à nos oreilles. Splendide !
Images à la Une @marielineevalouise & @amadeesse
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