Édouard-Léon Cortès, le peintre néo-Impressionniste amoureux de Paris !
Né en 1882 à Lagny-sur-Marne, le peintre français néo-Impressionniste Edouard Léon Cortès est connu pour ses scènes impressionnistes et idéalisées des rues parisiennes. En 1899, c’est à l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris que le poète parisien de la peinture fait ses armes. Admis malgré son jeune âge au Salon des Artistes Français, c’est en ce lieu que la presse Internationale fait l’éloge de sa toile Le Labour, qu’il conservera jusqu’à sa mort. En 1915, la finesse et la beauté de ses peintures de Paris lui valent la médaille d’argent de la Société des Artistes Français, puis la médaille d’or au Salon des Indépendants.
Le poète parisien de la peinture !
Si ses contemporains l’ont nommé « le poète parisien de la peinture » ce n’est pas le fruit du hasard. Fondamentalement amoureux de Paris, l’artiste post-Impressionniste Édouard-Léon Cortès émerveille avec ses paysages parisiens hors du temps, dont la luminosité crépusculaire et pluvieuse émanant des toiles donne une vision onirique à nulle autre pareille de la capitale française. Edouard-Léon Cortès décède le 28 novembre 1969 à Lagny où une rue porte désormais son nom. Ses peintures des rues de Paris, elles, demeurent éternelles.
Paris, muse éternelle d’Édouard-Léon Cortès…
Place de la République et Arc de Triomphe enneigés, Place de la Madeleine au coucher du soleil, Jardin des Tuileries ensoleillé, Moulin Rouge la nuit, place de l’Opéra sous la pluie… Par tous les temps et les éléments, par toutes les saisons, Paris demeure la muse d’Édouard-Léon Cortès. Du marché aux fleurs au Quai du Louvre en passant par la Porte Saint-Martin, le Sacré-Coeur, la place de la Bastille ou le Café de la Paix, l’artiste a immortalisé de la plus belle façon qu’il soit les lieux les plus iconiques de Paris. Envie d’écumer à nouveau ces endroits qui font l’objet de votre nostalgie ?