Après une première édition 2020 100% digital couronnée de succès et un bel hommage à Brahms en 2021, la Musikfest Parisienne revient nous enchanter au mois de mai ! Dans le cadre intimiste de la Salle Cortot, une vingtaine de musiciens talentueux joueront les plus belles partitions de la Belle Époque pour ce qui constitue un véritable festival de musique de chambre en plein cœur de Paris. Rendez-vous les 17, 20 et 21 mai, pour prendre part à ce moment empreint d’émotion et de poésie.
La Musikfest Parisienne ou le festival classique à ne manquer sous aucun prétexte
Souvenez-vous, ils nous avaient donné un peu de baume au cœur à l’heure du confinement en 2020 avec des superbes concerts dédiés à Beethoven. Les musiciens de la Musikfest, menés par la violoniste virtuose Liya Petrova, reviennent au printemps pour le plus grand plaisir de nos oreilles. Pour cette nouvelle édition, nous serons plongés à la Belle-Époque avec une immersion dans le répertoire de la musique de chambre. Debussy, Ravel ou Saint-Saëns, pour ne citer qu’eux, auront le droit à un hommage prenant grâce au talent et à l’entente de tous ces musiciens hors pair.
Et au-delà d’une bénédiction pour les oreilles, cette série de concerts représentera également un saut dans le temps. De la sonate au quintette en passant par le piano à quatre mains, vous serez témoins de la variété et de l’extrême richesse des styles offerts par la musique de chambre française de la Belle Époque. Trois soirées, trois programmes différents et un dénominateur commun : la magie et la poésie d’un concert classique. Le 17 mai, les hymnes (entre autres) de Debussy, Fauré et Ravel résonneront dans la salle Cortot, tandis que ceux de Tailleferre, Chausson et Hahn vous berceront le 20 mai. Enfin, le concert du 21 vous proposera des partitions de Saint-Saëns, Nadia Boulanger ou encore César Franck pour une véritable parenthèse enchantée.
Liés par les maîtres-mots que sont l’amitié, la jeunesse et la transmission, les membres de l’ensemble auront à cœur de livrer une performance enchanteresse pour rendre ce festival encore plus grandiose. On pourra de surcroît compter sur l’acoustique incomparable de la Salle Cortot qui ne pourrait être mieux décrite que par les mots de son créateur : « Auguste Perret nous avait dit : Je vous ferai une salle qui sonnera comme un violon. Il a dit vrai. Mais il se trouve -ce qui dépasse nos espérances- que ce violon est un Stradivarius. »
En somme, c’est un magnifique moment sur tous les aspects qui vous attend au mois de mai !