La Main Prod réalise des vidéos courtes qui dévoilent les secrets de Paris, du bar insolite à l’école du futur.
Trouver le Paris insolite, dévoiler ses bars cachés, ses innovations technologiques… c’est le défi que se sont lancé 5 étudiants en audiovisuel, qu’ils révèlent dans des vidéos courtes et bien rythmées.
« L’idée est née à partir d’un projet pédagogique qui avait pour thème ce qui nous inspire dans la vie, et nous, on a choisi Paris, explique Julien, 20 ans, régisseur sur le projet. On a divisé le sujet en plusieurs thématiques : innovations, insolites, paris et l’art, par exemple. » Inspirés par les youtubers influencers, comme Wartek ou Anil B, qui réalisent des vidéos de voyages de qualités, le groupe s’efforce d’avoir des plans différents, des séquences intéressantes et un montage final parfait.
Pour le moment, 5 épisodes d’environ 2 minutes sont en ligne, chacun avec sa thématique propre. Le but ? Dévoiler les « dessous » de Paris, son cachet particulier et pas forcément connu de tous. « Par exemple, nous avons été dans la rue Crémieux, une ruelle bordée de maison colorées qui reste encore méconnues des parisiens. Sur place, nous avons fait des interviews avec les gens qui y étaient pour avoir leurs impressions. »
D’ailleurs, la Main Prod ne prévoit pas toutes ses interviews à l’avance : « On interview souvent directement sur les lieux de tournage. On s’approche beaucoup des gens, cela nous permet d’avoir des ressentis sincères, de montrer le lieux le mieux possible. »
Des lieux, des gens, mais aussi des musiques : pour rythmer leurs vidéos, le groupe s’efforce de trouver des musiques insolites et ambiancées. Cela permet de donner une dimension supplémentaire à l’univers qu’ils souhaitent créer. « On essaye de mettre du cœur dans le projet ! »
Et pour la suite ?
Le projet, qui sort largement du cadre scolaire, devrait continuer avec de nouvelles vidéos inspirations de Paris… et d’ailleurs : « On va continuer sur la même thématique : trouver des lieux insolites ou inspirants. Et dans le futur, on aimerait peut-être développer le projet dans d’autres villes. »
Photo de bannière : featstartupEmilie Barbier